Sous le voile d’étoiles, l’insécurité s’insinue,
La rue, vaste océan, où la crainte s’évertue.
Les vagues de peur effacent les empreintes,
Les plages muettes, les rires en fuite.
Sous un ciel de perles grises, l’intranquillité s’étire,
Les rues deviennent des rivières sombres où la peur respire.
Les vagues de l’angoisse effacent les empreintes sur le sable doré,
Les plages, jadis vivantes, sont maintenant des déserts oubliés.
L’été, fragile courbe, s’efface sous juillet,
Les espoirs noyés, les rives dénudées.
Dans quatorze communes, l’attente se fige,
Les pèlerins absents, les fêtes en vertige.
L’Assomption approche, le cœur en suspens,
Haïti dérive, emportée par les vents.
L’insécurité, sombre marée, conte,
Une histoire de tourment, une paix vacillante.
cba
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