« Les inscriptions sont ouvertes », annonce Le Nouvelliste. Les candidats ont jusqu’à ce vendredi pour se faire connaître soit par courrier, soit par mail à l’adresse : secretariatgeneralpresidence24@gmail.com.
Attention, précise Le Nouvelliste : tout le monde ne peut pas se présenter. Les volontaires doivent faire partie des « secteurs formant le Conseil présidentiel de transition ou adhérant » à l’Accord du 3 avril. Ils doivent également s’engager à fournir au plus tard un mois après l’installation du Premier ministre, leur casier judiciaire, leur déclaration d’impôts et un certificat de déclaration de patrimoine.
La PNH a réussi à reprendre le commissariat de Gressier tombé aux mains des gangs vendredi soir
« Des unités spécialisées (…) dépêchées sur place ont réussi à investir cette installation policière mettant en déroute les bandits filmés ce dimanche (12 mai 2024) en train d’organiser la circulation à la place de la police », écrit Gazette Haïti. C’est l’un des rares commissariats attaqués par les gangs qui a pu être repris, précise le quotidien. Selon le syndicat de la Police nationale d’Haïti, depuis le début de l’année 2024, plus de 25 postes de police ont été détruits par des bandes armées, rapporte Alterpresse.
Le Centre d’art de Port-au-Prince fête ses 80 ans
Dans ce contexte, les organisations surtout les institutions artistiques tentent de poursuivre leur mission. Ainsi le Centre d’art de Port-au-Prince, qui fête cette année (2024) ses 80 ans, compte bien marquer l’événement. C’est un dossier de notre correspondante, Marie-André Bélange.
La cañahua, espoir pour la Bolivie face au changement climatique
Pour s’adapter au réchauffement de la planète, la Bolivie mise sur une plante exceptionnelle : la cañahua. Cette cousine du quinoa est très nutritive et surtout très résistante, donc moins soumise aux variations climatiques. On la cultive dans la région de l’Altiplano à 4.000 m d’altitude. Elle pourrait être la clef pour éviter que des zones entières ne deviennent incultivables, voire inhabitables. Reportage de Nils Sabin.
Costa Rica, pays sans zoos publics
Ce week-end, les animaux des deux derniers zoos publics du pays ont été transférés dans un refuge, rapporte la chaîne de télévision Teletica. N’y resteront que ceux dont la détention présente un intérêt en termes de conservation des espèces, précise encore la chaîne de télévision, ou ceux qui ne sont pas en état de rejoindre leur habitat naturel. Certains animaux sont en effet privés de liberté depuis plus de 30 ans.
Cette fermeture des deux derniers zoos du pays n’intervient que plus de 10 ans après le vote de la loi interdisant les enclos animaliers parce que la Fondation qui les gérait a déposé de nombreux recours en justice. Il reste toutefois au moins 18 zoos privés au Costa Rica, qui ne sont pas concernés par la loi. Quant aux anciens zoos désormais vides, ils devraient être transformés en jardins publics.
Le journal de la 1ère
Pas d’amélioration en vue concernant le réseau de distribution d’eau potable en Martinique.