Foundation MEMOIRE HAITI 848 East 15th Brooklyn, NY 11230 Anneedline@gmail.com renkcul@gmail.com
Ambassadeur Omar Zniber Conseil des Droits de l’Homme Avenue de la Paix 8-14 1211 Geneva Switzerland
Le 15 Aout 2024,
Son Excellence Mr. Le Président Omar Zniber,
Membres du Conseil des Droits de l’Homme des Nations-Unies,
Au mon de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, du Droit International Coutumier, des Principes Généraux qui, reconnaissent universellement que des libertés, et des droits fondamentaux sont inhérents à tout être humain, qu’ils sont inaliénables et s’appliquent à tous, que tous sont nés libres et égaux en dignité et en droits, quels que soient leur nationalité, leur lieu de résidence, leur sexe, leur origine nationale ou ethnique ou couleur de peau, leur religion, leur langue out tout autre situation, nous vous écrivons pour vous demander d’initier l’expulsion de la République Dominicaine du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Uniesi.
La République Dominicaine est en direct et constante violation de chacun de ces points énumérés ci-dessus comme le prouvent des documents du Département d’Etat des Etats Unis, des Nations Unies, des principaux journaux américains et tant d’autres sources. C’est bien à partir de ces points fondamentaux que vous évaluez et émettez des rapports et de leur stricte observance découle la crédibilité de ces rapports.
Aussi sur la base de ces points fondamentaux nous vous soumettons de nombreux documents qui énumèrent les violations constantes de la République Dominicaine. Ce pays continuerait à être membre du Conseil des Droits de l’Homme, cela voudrait dire que l’autorisation lui est accordée de continuer à violer ces Droits. Le Conseil lui confère une notoriété et continuerait à le parer d’une couverture l’autorisant à perpétrer encore plus de crimes à l’endroit du peuple Haïtien, dans un contexte où le massacre en 1937 de plus 30.000 d’entre eux par ce même pays n’a jamais fait l’objet de condamnations officielles ou de sanctions. La Convention des Nations Unies sur le génocide caractérise ce massacre de génocide.
Membres du Conseil des Droits de l’Homme,
Ne pensez-vous pas que cet événement est encore assez récent, 87 ans et que les subséquentes actions gouvernementales relatives à la dénationalisation de citoyens à peau noire peut être prémonitoire d’actions à plus grande échelle. Pourquoi continueriez-vous à garder en votre sein la République Dominicaine au mépris de leur anti-Haitianisme allant du génocide à la dénationalisation de Dominicains d’origine haïtienne. Cette couverture dont elle se revêt désormais ne sert-elle pas à les conforter dans leurs exactions ?
Comment peuvent-ils être en position d’approuver, après des violations récurrentes, des rapports qui devront faire autorité dans des pays auxquels vous réclamez le respect des Droits de l’Homme ? N’est-il pas vrai que l’objectif des Nations Unies et le vôtre et celui de la société civile en général est de combattre des actions gouvernementales ouvertement racistes, discriminatoires et meurtrières et encore moins de les tolérer au 21 e siècle ?
Le peuple Haïtien et beaucoup d’autres noteront la contradiction entre les valeurs que vous défendez, les raisons de votre existence et la présence de ce pays en votre sein. Nous vous en conjurons donc au nom de la noblesse de votre travail de sanctionner ce pays et de l’expulser conformément aux règlements Car une non-procédure d’expulsion de la République Dominicaine auprès de l’assemblée Générale soulignerait que loin de promouvoir ces valeurs, vous en procédez à une application arbitraire, vous les relativisez quand, pour certains, vous ne les politisez pas au détriment d’autres pays. Ce n’est certes pas le cas, et sur la base de ces multiples preuves que nous vous soumettons ci-dessous, la République Dominicaine ne siègera plus parmi vous dès cette année. Elle sera exclue du Conseil des Droits de l’Homme pour que votre travail soit empreint de l’autorité nécessaire à la bonne marche de l’Organisation des Nations Unies.
Nous portons ci-dessous à votre connaissance des faits que, peut être, vous ne connaissez pas. Nous les notons pour que le monde voie l’importance que votre honorable institution accorde aux principes qui vous investissent de l’autorité de parcourir le monde et de sanctionner les pays ou l’arbitraire dont ces principes peuvent faire l’objet en gardant en votre sein un pays qui, au vu et au su de tous, viole systématiquement, journellement les droits fondamentaux d’un autre peuple. La République Dominicaine doit être expulsé du Conseil des Droits de l’Homme comme cela fut le cas pour d’autres pays. Rien ne justifie sa présence dans cette commission.
Nous vous présentons les faits des plus récents jusqu’au Massacre du Persil en 1937 et vous verrez que tout au long, la logique qui a concouru au génocide de 1937 est la même qui s’exprime encore à travers les lynchages, persécutions, l’impunité des crimes et l’adoption de lois discriminatoires. Devons-nous encore attendre passivement que cela se reproduise ? Veuillez prendre aussi connaissance ci-dessous des faits et des documents de l’organisation Génocide Watch et de Gregory Stranton, du Département d’Etat des Etats Unis sur la définition du terme génocide et les actions qui le caractérisent.
https://www.rhinews.com/actualites/des-organisations-internationales-denoncent-des-‘violations massives-des-droits-humains-dans-lindustrie-sucriere-dominicaine/ August 2024 “Les signataires expriment également leur profonde inquiétude face à la politique répressive du gouvernement de Luis Abinader contre la communauté immigrante haïtienne. “Le gouvernement a suspendu de facto les garanties légales et constitutionnelles,” déclarent-ils, en évoquant les milliers de personnes détenues sans raison valable dans des opérations souvent accompagnées de violences physiques, de vols, d’extorsions, voire d’abus sexuels et d’assassinats.
1. Dominican Republic: Authorities must end de facto racist migration policies – Amnesty International, April 2024
We have received reports of serious actions allegedly committed by Dominican state officials against the dignity and physical integrity of Haitians, Black Dominicans and Dominicans of Haitian descent who have been affected by racist practices. Instead of protecting these people from harassment, stigmatization and threats, the Dominican authorities have encouraged discriminatory discourse and policies against them,” said Ana Piquer..
2. Dominican Republic investigates attack against U.S. citizen | Miami Herald August 2024, In its 2023 state of human rights report for the Dominican Republic, the State Department said there was“evidence of racial prejudice and discrimination by the security forces and other government offices against persons of darker complexion, in particular Haitians, Dominicans of Haitian descent, or those perceived to be Haitian.”
3. Miami Herald How U.S. citizen became a victim of Dominican official when trying to cross into Haiti, August 8, 2024 https://www.miamiherald.com/news/nation world/world/americas/haiti/article290844439.html#storylink=cpy “
The guy then threw a punch, hitting my right temple and my eyes,” Theus said. “It’s when I collected myself I realized the guy just punched me. I walked after him and said, ‘You just punched me.’ He turned around and then slapped me,” Theus added. After Theus walked into a building to ask to see a supervisor, the officer,
Theus said, turned around again and then grabbed the back of his pants and physically removed him. Moments later, another officer approached Theus and the two other U.S. citizens he was with. When he finally handed over his passport, which had been in his parked car, Theus said the officer let out an expletive. It was an American passport, not Haitian.
4. Religious institutions call for end to harassment of Haitians in Dominican Republic – Vatican News , March 2024.
A joint statement, 127 religious and social organizations from the Spanish-speaking world have condemned the practices of the military and agents of the General Directorate of Migration (DGM) in the Dominican Republic:
The Dominican authorities are also alleged to have used verbal and physical violence against these families and to have harassed “persons with Dominican documentation and documentation accrediting their regular residence in the Dominican Republic.”
….At the UN General Assembly in September 2023, President Abinader spoke of the need to stand together and help each other, saying, “Either we fight together to save Haiti, or we will fight alone to protect the Dominican Republic.”
The joint statement of the 127 religious organizations pointed out “that this event, which took place in the early hours of Friday morning (The authorities engaged in illegal and unjust practices against innocent families), was not aimed at ‘saving Haiti,’ but neither was it aimed at ‘protecting the Dominican Republic.’”
5. Dominicans Reelect Abinader, the Businessman who Compares Himself to the Country’s Last Dictator | NACLA. While Javier Milei and Jair Bolsonaro’s praise of military dictatorships and Nayib Bukele’s claim to be a « cool dictator » have garnered criticism, Abinader’s comparison of himself during the campaign to Dominican dictator Joaquín Balaguer went largely unnoticed.
7. The Origins of Anti-Haitian Sentiment in the Dominican Republic | NACLA
Trujillo and Balaguer believed that if Haitians could be contained on plantations they could contribute to the wealth of the Dominican nation without ever being acknowledged as part of it. While the majority of Dominicans are of African descent, Balaguer argued that after the decimation of the island’s indigenous population the Dominican Republic was repopulated by white Spaniards. According to him, African characteristics in the Dominican population were a result of Haitian infiltration of the Dominican Republic. Because of his fear of racial “contamination”, Balaguer became increasingly concerned about Dominicans born to Haitian parents. In the 1970s he commissioned several investigations into the issue, and numerous government officials informed him that the government could not deport Dominican-Haitians, because, having been born in the Dominican Republic, they were constitutionally Dominican.
8. Lettre du Collectif à l’Ambassadeur Dominicain. Décembre 2021 (en annexe) L’arrestation en pleine rue, à des heures indues, sans avoir la possibilité de récupérer leurs maigres effets et, pour comble de l’horreur, les derniers incidents impliquant des femmes enceintes extirpées brutalement d’un centre hospitalier, sont une honte dans un État qui se voudrait démocratique et respectueux des droits humains.
9. National Public Radio (NPR) Haitian’s Lynching Renews Protests Against Dominican Citizenship Law : Code Switch : NPR « When you have individual actors in the form of government coming together to create major bureaucratic hoops, it’s clear that there is some discriminating intention, » says Angela Fernandez, executive director of the North Manhattan Coalition for Immigrant Rights. « The underclass has already been created by Dominican society and the government. What this does it compound the issue more for Dominicans of Haitian descent. »
10. 10. Haitian Man Lynched Amid Dominican Republic Immigration Controversy | HuffPost VoicesFebruary 2015 Wade McMullen, an attorney with the Robert F. Kennedy Center for Justice and Human Rights, said investigators appeared to have discounted race as a motive in Tulile’s murder too quickly.
“For the Dominican authorities to rule out racism as a factor less than 24 hours after a man of Haitian descent was hanged in a public square is not just irresponsible policing, it is an outrageous example of discrimination endemic to the Dominican Republic,” McMullen wrote to HuffPost in an email. “And frankly
it is all too reminiscent of the shameful denials of Southern officials during the decades of terror lynchings perpetrated against African-Americans here at home.”
11. The Guardian, Newspaper in London Man lynched in Dominican Republic as tensions run high | Dominican Republic | The Guardian, February 2015 The death of the man came just hours after a group of Dominicans in Santiago, the country’s second-largest city, publicly burned the Haitian flag. Elsewhere, human rights groups have reported that a man was recently denied access to a public bus because he “looked Haitian”.
Anti-Haitian sentiment has been on the rise in the Dominican Republic since a 2013 court ruling, which denied children of Haitian migrants their citizenship retroactive to 1930, leaving tens of thousands of Dominican-born people of Haitian descent stateless and at risk of being deported.
12. Lettre adressée à l’Organisation des Etats Américains par plus de 34 associations de la Société Civile haïtienne et de la Diaspora- Le mercredi 11 février 2015 (lettre en annexe) … des résidents de Santiago, dans le parc Ercilia Pepín, découvrirent pendu à un arbre, pieds et poings liés, un homme d’origine haïtienne du nom de Henry-Claude Jean, âgé d’environ 30 ans et connu sous le nom de « Tulile ». Une opération de pendaison digne du Klu Klux Klan. –
le 19 février 2015, à Belladère, dans la zone frontalière d’Elias Pinas, Ti Louis, un Haïtien ainsi connu, a été retrouvé décapité (AlterPresse),
Dans un article paru dans le quotidien haïtien Le Nouvelliste – le 23 juillet 2014, il est révélé que dix Haïtiens ont été tués en République Dominicaine. Parmi eux, on peut citer Densy Casséus, Daniel Fleuristil et Miguel Pie, victimes de lynchage à la section rurale de Mata Grande de San Jose de Las Matas, une province de Santiago. Selon une dépêche de l’agence haïtienne de presse en ligne AlterPresse – le 25 Novembre 2013 entre 4 et 8 Haïtiens ont été tués à Neyba, au sud de la République Dominicaine. Parmi les victimes, 4 sont originaires de Grand Bois, localité haïtienne située non loin de la frontière haïtiano-dominicaine, et ont été identifiées, rapporte le Groupe d’Appui aux Rapatriés et Réfugiés (GARR). Ces victimes sont connues sous les noms de Coyit, Michelet, Nonnonm et Cepay.
-Le 25 janvier 2011, la presse dominicaine a mentionné l’incendie de 6 chambres occupées par des familles haïtiennes (Espacinsular, 25/01/11). –Le 25 Janvier 2011, Le même jour, le quotidien Listin Diario rapportait le décès d’un enfant haïtien de 3 ans retrouvé calciné dans la résidence de ses parents, incendiée par un groupe d’individus en guise de représailles contre son père accusé d’avoir agressé un agent de sécurité dominicain. – Le 30 janvier 2011, la presse dominicaine a annoncé l’incendie de 20 chambres occupées par plus de 80 Haïtiens/Haïtiennes dans la communauté de Mao.
Malgré les cris d’alarme répétés lancés par des organisations humanitaires pour stopper les atrocités de toutes sortes L’ État continue de violer en toute impunité les principes élémentaires des droits humains de par l’arrêt 168-13 scandaleux et injuste de sa Cour Constitutionnelle et son silence vis-à-vis des exactions répétées et graves commises par des secteurs de sa population, des membres de ses forces militaires cantonnées à la frontière et de sa police sur un groupe d’hommes et de femmes du fait, encore une fois, de la couleur de leur peau, de leur pays d’origine et de leur vulnérabilité économique.
13 . 1937, le génocide occulté des Haïtiens | Mediapart Entre le 2 et 4 octobre 1937, les villes du nord-ouest de la République dominicaine connurent le « massacre du Persil ». Sur ordre de la dictature de
Trujillo, les immigrés et ressortissants haïtiens sont traqués puis tués à l’arme blanche par les soldats dominicains. Selon certains historiens, plus de 20 000 Haïtiens ont péri.
Le « massacre du Persil » est le nom qui est passé à la postérité pour désigner le génocide des Haïtiens en République dominicaine en 1937. Les soldats dominicains interpellaient systématiquement les suspects au faciès africain avec un brin de persil. Pour prouver qu’ils étaient des Dominicains, ceux qui étaient pris à partie devaient dire en espagnol que c’était du persil, soit perejil en espagnol. Échouer à cet exercice entraînait la mort quasi automatique de la personne concernée, car le [r] est difficilement prononçable pour les paysans haïtiens créolophones immigrés en République dominicaine.
14. Dominican Republic investigates attack against U.S. citizen | Miami Herald, August 2024 In its 2023 state of human rights report for the Dominican Republic, the State Department said there was “evidence of racial prejudice and discrimination by the security forces and other government offices against persons of darker complexion, in particular Haitians, Dominicans of Haitian descent, or those perceived to be Haitian.”
15. ICLR vol. 30, no. 2 (bc.edu) In the case of Yean & Bosico v. Dominican Republic, La ConseilInter Américaine des Droits de l’homme a saisi la Cour Inter-Americaine des Droits de l’Homme en 2005. In its official application against the Dominican Republic submitted to the IACHR on July 11, 2003, the Inter American Conseilon Human Rights alleged that the Dominican Republic, through the State’s Registry Office authorities, had illegally refused to issue birth certificates for the children Yean and Bosco.71 The children were born within the State’s territory, and the Constitution of the Dominican Republic establishes the principle of jus soli to determine those who have a right to Dominican citizenship
After a thorough examination of the facts, the Court found that the Dominican Republic discriminatorily applied its nationality and birth registration laws to children of Haitian descent. The Court further ruled that these discriminatory policies and regulations rendered such children interminably stateless and thus unable to access fundamental human rights and freedoms. The Court’s ruling acknowledged that these circumstances left the Yean and Bosco children without an identity. The Court also acknowledged the dramatic consequences on their rights as children and concerning their ability to function as individuals within Dominican society. In its written decision, the court underlines that States must abstain from enacting or enforcing regulations that are facially discriminatory or have discriminatory effects on different groups
In Response: The Dominican government has displayed hostility and resentment with respect to the IACHR decision, an overall unwillingness to fulfill the country’s international obligations and a lack of respect for international human rights law. The limited steps which the Dominican government has taken since the judgment in 2005 have fallen short of, and in some cases subverted, the directives of the Court.
The Dominican Supreme Court has also interpreted the state’s constitution in such a way as to facilitate the practice of denying citizenship to Haitian Dominicans.
To further demonstrate their displeasure with the IACHR ruling, on October 18, 2005, the Dominican Senate issued a resolution rejecting the ruling of the Court. The international community was quick to respond to this action by stating that the “extreme hostility of the legislature, the body responsible for executing institutional reforms ordered by the Court, is a clear cause for alarm.”
16. ICLR vol. 30, no. 2 (bc.edu)After conducting extensive interviews in an effort to understand the problems faced by blacks, both Dominican and of Haitian descent, the experts witnessed first hand: Blacks typically live in worse conditions, are employed in manual and low-paid work, and suffer a high degree of prejudice. Disturbing references are made to blacks as being “pig feed,” ignorant or unhygienic, and many spoke of their daily experiences of racism, including by administrative officials in registration offices, on public transportation, and elsewhere. Many reported that because
of their colour or their Haitian looks or name, it is impossible to obtain documents and they are left vulnerable to deportation or expulsion to Haiti, even as Dominican citizens with no connection whatsoever with that country.
17. What’s next for a crackdown on Haitian migrants as the Dominican Republic leader enters a new term? | AP News: William Charpantier Blanco, head of the National Committee for Migrants and Refugees in the Dominican Republic capital of Santo Domingo, said in past months his organization has seen rising “hate speech” against Haitians as top candidates for president “coincided” in their stances on migration. May 2024 .
18. Genocide Watch- Ten Stages of Genocide Targeted groups of state-led discrimination are victims of Discrimination. An exclusionary ideology is central to Discrimination and Dehumanization. Autocratic
regimes foster the Organization of hate groups. An ethnically polarized elite is characteristic of Polarization. Lack of openness to trade and other influences from outside a state’s borders is characteristic of Preparation for genocide or politicide. Massive violation of human rights is evidence of Persecution. Impunity after previous genocides or politicides is evidence of Denial.
19. The Seven Stages of Genocide | Genocide Studies Program (yale.edu) “ Genocidal intent does not require an overall plan. An act of genocide may arise in a culture that considers members of another group less than human, where killing members of that group is not considered murder. The intent of the act of genocide does not have to be part of a plan to kill the whole group, if a killing is part of a genocidal nature where victims are killed because of their ethnical identity, it is an act of genocide, even if only a part of a group is targeted” Dr. Gregory Stanton, US Department of State.
20. The cases herein enumerated do not convey by any means the gravity of what is happening in Dominican Republic right now. (attached an audio).
Permettez que nous soulignions à votre attention les faits les plus récents.
Le vendredi 5 juillet, le Groupe d’Appui aux Rapatriés et Réfugiés (GARR) s’est indigné dans un communiqué de presse face à la banalisation de la vie des Haïtiens en terre voisine et a tiré la sonnette d’alarme sur la tournure inquiétante de la situation (après l’élection du président Balaguer) L’équipe du GARR a assisté au rapatriement à la frontière de Belladère de la jeune femme haïtienne de 23 ans décédée aux mains des autorités dominicaines. La fille a été placée en détention sans accès à un minimum d’assistance médicale. Son état s’est vite détérioré et elle a succombé dans l’indifférence la plus totale le 4 juillet, au cours de sa déportation Le même jour, à la frontière Sud-est d’Haïti (Pedernales/Anse-à-Pitres), Le GARR fut alerte par leur réseau d’information sur l’assassinat brutal de deux Haïtiens en territoire dominicain. Selon les témoins, ces deux hommes ont été froidement abattus alors qu’ils s’approvisionnaient en bois pour faire face aux intempéries. Le présumé assassin comme identifie par de nombreux témoins reste impuni comme à l’accoutumée.
Ces faits ne sont qu’un très maigre échantillon de ce qui se passe en République Dominicaine, beaucoup de ces exactions, comme vous le supposez, ne sont pas reportées. Nous avons aussi des audios de personnes identifiées, certaines sont des leaders locaux près de la frontière.
Pourrait-son banaliser à ce point la vie d’un peuple que la République Dominicaine continue à avoir la possibilité de siéger parmi vous ?
Son Excellence Mr. Le Président Zniber,
Membres du Conseil des Droits de l’Homme,
Au nom du peuple Haïtien et de toutes les victimes des massacres ethniques à travers le monde, ne supportez pas et n’encouragez pas les politiques discriminatoires et racistes de la République Dominicaine en le laissant siéger dans le Conseil des Droits de l’Homme.
Une procédure d’urgence doit être initié afin d’expulser la République Dominicaine du Conseil des Droits de l’Homme.
Nous vous remercions infiniment car il s’agit aussi de préserver les valeurs fondatrices de L’ONU et de la valorisation des Droits de l’Homme à travers le monde
Veuilles recevoir nos très cordiales et chaleureuses salutations.
Anne-Edline Francois, Juriste Fondation Mémoire
Linette.armand@gmail.com Tel: +1 929 216 9963
Luckner Bayas
Fondation Mémoire
ANNEXE
A Coalition of Organizations of the Haitian Diaspora
1725 I Street, NW, Suite 300
Washington, DC. 20006
(202)657-5859
March 16, 2015
To: His Excellency José Miguel Insulza
Secretary General
Organization of American States
Mr. Secretary General,
We, representatives of the Haitian Diaspora, feel an urgent need to draw your attention to the increasingly worrisome situation of Haitians and Dominicans of Haitian descent living in the Dominican Republic.
We hasten to draw your attention to the American Convention on Human Rights which reaffirms a set of rights from the Charter of the United Nations as well as other international and national legal instruments for which, the founders of the Republic of Haiti and other Haitian revolutionaries sacrificed themselves in the 18th and 19th centuries.
The Dominican Republic and the Republic of Haiti are founding members of the United Nations and are part of the American Convention on Human Rights.
Article 1 of the Convention provides:
« The States Parties to this Convention undertake to respect the rights and freedoms recognized herein and to ensure to all persons subject to their jurisdiction the free and full exercise of those rights and freedoms, without any discrimination for reasons of race, color, sex, language, religion, political or other opinion, national or social origin, economic status, birth, or any other social condition. »
Article 5 of the same Convention relates to the right to integrity of the person, specifically stating the following:
1. Every person has the right to have his physical, mental, and moral integrity respected.
2. No one shall be subjected to torture or to cruel, inhuman, or degrading punishment or treatment. All persons deprived of their liberty shall be treated with respect for the inherent dignity of the human person.
Unfortunately, in light of recent events, the Dominican Republic is not meeting its commitments under the American Convention of Human Rights to which it had subscribed on September 9, 1977 and which it had ratified on January 21, 1978. Beatings on a daily basis, barbaric acts and assassinations have been broadcasted repeatedly, are seen regularly via social media outlet, and are now common occurrences in the Dominican Republic.
Between facts and compliance with the Convention, there is a significant divide
The list of shocking and flagrant violations of the rights of Haitian citizens registered in the Dominican Republic is too long to enumerate. Contrary to article 15 of the Universal Declaration of Human Rights of December 10, 1948, the Constitutional Court of the Dominican Republic adopted a legislative action 168-13 of September 23, 2013, which threatens to repatriate predominantly Dominicans of Haitian origin.
This judgment exacerbated and legitimized the multiple violations on the rights of Haitian citizens. The Dominican State appears to tolerate that some members of its population, influenced by an ultra-nationalist, racist and anti-Haitian speech, engage in barbaric acts, including lynching, murders and inhuman treatment towards this ethnic group by virtue of the color of their skin, its economic vulnerability and its country of origin.
A recount of some of the recent criminal acts towards Haitians
On Wednesday, February 11, 2015, residents of Santiago, in the Ercilia Pepin Park, discovered hanging from a tree, feet and fists bound, a man of Haitian origin named Henry-Claude Jean, about 30 years old and known as the ‘Tulile « . An act worthy of a Klu Klux Klan hanging.
On February 19, 2015, in Belladere, in the border area of Elias Pinas, a Haitian, known as “Ti Louis”, was found beheaded (AlterPresse, 02/20/2015).
What were the responses of the Dominican State to these acts of barbarity? None. In an article published in the Haitian newspaper Le Nouvelliste – July 23, 2014, it is revealed that ten (10) Haitians were killed in the Dominican Republic. Among them, Vinod Carrick, Daniel Fleuristil, and Miguel Pie, victims of lynching in the rural section of Mata Grande de San José de Las Matas, a province of Santiago. According to a piece of the Haitian online news agency AlterPresse – November 25, 2013, between 4 and 8 Haitians were killed in Neyba, located in the south of the Dominican Republic. Among the victims, four (4) have been identified and were from Grand Bois, a town in Haiti located not far from the Haitian-Dominican border. This was reported by Groupe d’Appui aux Rapatriés et Réfugiés (GARR), an organization which assists repatriates and refugees. The victims were known as Coyit, Michelet, Nonnonm, and Cepay.
On January 25, 2011, the Dominican press reported a fire incident involving six rooms occupied by Haitian families (Espacinsular, 01/25/11). The same day, the newspaper Listin Diario reported the death of a three year old Haitian child found in the residence of her parents, burned by a group of individuals in retaliation against her father accused of assaulting a Dominican security officer.
On January 30, 2011, the Dominican press announced another fire involving twenty rooms occupied by more than 80 Haitians in the community of Mao. Despite the repeated outcry by humanitarian organizations such the GARR and Foundation Zile requesting a cease to atrocities of all kinds (illegal arrests, detentions, forced repatriations, fires of residences) of which many Haitians are faced with in the neighboring territory, nothing seems to stop this descent into hell.
It is rather clear that in recent years, and despite the various orders of the Inter-American Conseilon Human Rights related to the treatment of its black population, including of Haitians, the Dominican Republic continues to violate with impunity the basic principles of human rights through the outrageous and unfair legislative action of 168-13.
Its silence vis-à-vis the repeated and serious abuses committed by sectors of its population, members of its border military forces and police actions on men and women, based on their skin color, country of origin and economic vulnerability, continues.
Also, we, organizations representing the Haitian Diaspora, will not remain unresponsive in the face of these provocative, barbaric and oppressive acts that continue to dehumanize the populations of Haitian origin in the Dominican Republic. Today, in light of the rise of viscerally anti-Haitian incidents, we are entitled to ask ourselves if the recommendations of the Inter-American Conseilon Human Rights made to the Dominican
Republic have been as effective as they should be and, indeed, why they are not. Does the Dominican State really feel bound by its international commitments?
The Dominican Republic and its international commitments
Paradoxically, article 26 of the constitution of the neighboring country stipulates « The Dominican Republic is a member-state of the international community, and in this sense, it is open to cooperation and abides to the norms of international law. »
Accordingly: « it recognizes and applies the standards of international law, general and American; international relations of the Dominican Republic are based on and governed by the affirmation and promotion of its values and its national interests, respect for human rights and international law ». This implies an unquestionable legal primacy of international law over national law in the Dominican Republic.
A new genocide must be prevented
The treatment of Haitians and Dominicans of Haitian descent living in the Dominican Republic completely belies such provisions of the Dominican legal system. On the contrary, we are witnessing the resurgence of an institutionalized and systematic discrimination by the Dominican authorities against Haitian ethnicity, which may cause and feed an irreconcilable hatred in some parts of the Dominican population. This hatred may well culminate in a form of Haitian phobia, which could lead to a genocide, if the OAS proves not very vigilant, active and resolute. This growing hatred threatens to engulf this space where the two populations are expected to evolve in a peaceful coexistence, as desired by the Haitian people, and according to, among others, the American Treaty on Pacific Settlement, also known as the Pact of Bogota, signed by the Americas during the Pan-American conference held on April 30, 1948 in Bogota, Colombia.
The genocide which took place April to July 1994 in Rwanda (East Africa), and which had approximately 800,000 Rwandan victims, mainly Tutsis, is a case in point that should encourage others to be watchful rather than get carried away by these foolish and lax impulses, as was the case between Hutus and Tutsis.
The massacre of Haitians in the Dominican Republic in 1937, which resulted in more than 30,000 dead (men, women and children), a tragedy known as the « Parsley Massacre », was ordered by former Dominican dictator, Rafael Leónidas Trujillo Molina.
How can a new massacre be avoided? It is imperative that the permissiveness of today, which is akin to a thinly veiled conspiracy and uncodified principle, be thwarted.
Absence of adequate actions by the OAS
It should be noted that many Haitian human rights organizations have complained of lack of impact of the actions undertaken by the OAS to date, despite repeated calls for action during these last five years. To date, the Haitian people are expecting a follow-up of the Secretary General and the OAS’ Permanent Council on the latest report of the Inter-American Council of Human Rights.
Mr. Secretary General, given your organization’s mission to submit to the consideration of the General Assembly or the Permanent Council any matter that threatens the peace and security of the American continent, we present to you this complaint in order to find a rapid solution to the abuses that affect the above-mentioned people in the Dominican Republic.
To this end, we request the following in the shortest delay possible:
1-. The immediate cessation of the anti-Haitian hate campaign and abuses against Haitians and Dominicans of Haitian descent in the Dominican Republic.
2-. The vigorous pursuit and judgement by the Dominican State of those criminals responsible for xenophobic acts of violence against Haitians in the Dominican Republic to avoid the perpetration of new cases;
3-. Protection by the Dominican State of Haitians and Dominicans of Haitian descent living on its territory
Relying on the good faith and effectiveness of the Organization of American States, and on yours, Secretary General, we kindly request and anticipate the appropriate follow up that we are sure you will give to this urgent request.
Supporting organizations:
Name: Alliance Saint-Martialoise
Name of signator: Kerlens TILUS
City/Country: Central Islip, (USA)
Name: Asosiyasyon Fanm Ayisyen nan Boston (AFAB)/ Association of Haitian Women, Inc. (Afab-Kafanm)
Name of signator: Carline DESIRE
City/Country: Boston (USA)
Name: Association of Haitian Professionals (AHP)
Name of signator: Giles C CHARLESTON, co-founder and board member City/Country: Washington, DC (USA)
Name: Association pour la Défense des Droits de L’homme et de la Démocratie en Haïti et dans le Monde
Name of signator: Gérald BLONCOURT, président
City/Country: Paris (France)
Name: Centre Oecuménique des Droits Humains (CEDH)
Name of signator: Sylvie W. BAJEUX, directrice exécutive
City/Country: Port-au-Prince (Haïti)
Name: Collectif 4 décembre 2013
Name of signator: Jean-Robert ARGANT, coordonnateur général
City/Country: Port-au-Prince (Haïti)
Name: Comité d’action contre la CT-168.13 de la République DominicaineName of signator: Frantz ANDRÉ, membre et co-porte parole
City/Country: Montréal, Québec (Canada)
Name: Comité Mémoire 1937
Name of signator: Rachelle CHARLIER DOUCET, coordonnatrice
City/Country : Port-au-Prince (Haïti)
Name: Congrès des Ingénieurs, Architectes, Scientifiques et Technologues Haïtiens (CIASTH)ii
Name of signator: Luckner BAYAS, PE
City/Country: Washington, DC. (USA)
Name: FANM Ayisyen Nan Myami
Name of signator: Marleine BASTIEN
City/Country: Miami, Florida (USA)
Name: Fédération Haïtienne de la Diaspora de l’Europe (FHDE) Name of signator: Samuel COLLIN, président
Name: Groupe d’Appui aux Rapatriés et Réfugiés (GARR) Name of signator: Saint-Pierre BEAUBRUN, coordonnateur
City/Country: Port-au-Prince (Haïti)
Name: Groupe de Réflexion et d’Action pour une
Haïti Nouvelle (Grahn-Monde)
Name of signator: Samuel PIERRE, président
City/Country: Montréal (Canada)
Name: Haiti 2015
Name of signator: Ilio DURANDIS, fondateur
City/Country: Boston, Massachusetts (États-Unis)
Name: Haiti Democracy Project
Name of signator: James MORRELL
City/Country: Washington, DC (USA)
Name: Haiti – Jamaica Society
Name of signator: Myrtha DESULME
City/Country: Kingston (Jamaica)
Name: Haitian American Grassroots Coalition (HAGC) Name of signator: Jean Robert LAFORTUNE
City/Country: Miami (Floride)
Name: Haitian American United (HAU)
Name of signator: Nesly METAYER
City/Country: Boston, MA (USA)
Name: Haitian Artists Assembly of Massachusetts (HAAM)Name of signator: Charlot LUCIEN
City/Country: Boston, MA (USA)
Name: Haitian Congress to Fortify Haiti
Name of signator: Lionel JEAN BAPTISTE
City/Country: Chicago, Il (USA)
Name: Haitian Diaspora Advocacy Group
Name of signator: Jaques BINGUE
City/Country: Wisconsin (USA)
Name: Haitian Diaspora Federation (HDF)
Name of signator: Katleen FELIX
City/Country: New Jersey (USA)
Name: Mouvement d’Union de la Diaspora Haïtienne
pour Haïti (MUDHAH)
Name of signator: Edwin D’HAÏTI, président
City/Country: Paris (France) et Port-au-Prince (Haïti)
Name: N’ap Sove Ayiti (NAPSA)
Name of signator: Pierre JEAN-CLAUDE, coordonnateur de NAPSA-Venezuela City/Country: Caracas (Venezuela)
Name: National Association of Haitian Professionals (NAHP) Name of signator: Serge RENAUD
City/Country: Indiana (USA)
Name: National Organization for the Advancement of Haitians (NOAH) Name of signator: Joseph E. BAPTISTE
City/Country: Washington, DC. (USA)
Name: SANTLA
Name of signator: Gepsie METELLUS, executive director
City/Country: Miami, Florida (USA)
Port-au-Prince, le 6 décembre 2021
Son Excellence Monsieur Faruk Miguel Castillo
Ambassadeur de la République Dominicaine
En sa Chancellerie
Pétion-Ville, Haïti
Le COLLECTIF DU 4 DECEMBRE 2013 organisation haïtienne évoluant dans le cadre de défense des droits des citoyens, a l’impérieux devoir et le regret de souligner à votre attention, qu’au mépris de vos propres lois, vos services d’immigration refoulent, expulsent et déportent sans ménagement et dans des conditions inhumaines des citoyens de notre Pays.
L’arrestation en pleine rue, à des heures indues, sans avoir la possibilité de récupérer leurs maigres effets et, pour comble de l’horreur, les derniers incidents impliquant des femmes enceintes extirpées brutalement d’un centre hospitalier, sont une honte dans un État qui se voudrait démocratique et respectueux des droits humains.
Si la République Dominicaine dans la logique de défense de sa Souveraineté entend appliquer ses lois, cela ne lui confère pas pour autant le droit de violer impunément celui des autres, fussent-ils en situation migratoire irrégulière.
Nous protestons énergiquement contre ces formes d’abus et ces pratiques macabres qui réduisent la dignité humaine à une peau de chagrin et font de votre pays un exemple à ne pas suivre.
Si la géographie nous condamne à vivre ensemble, donc à nous entendre, votre attitude actuelle ne sera jamais porteuse d’amitié ni de volonté réelle de partager cette île dans le respect de l’un pour l’autre sans complexe ni préjugé, voire xénophobie.
Tout en souhaitant que vous parveniez à faire cesser ces agissements inhumains et répréhensibles envers nos compatriotes haïtiens que des circonstances indépendantes de leur volonté ont forcé à traverser la frontière en quête d’un mieux-être et non d’avanies, nous vous prions d’accepter, Excellence, nos salutations distinguées
Jean-Robert Argant
Coordonnateur Général
www.collectif4decembre2013.org
282, Bourdon, Port-au-Prince, HT6110, Haïti T. 509-3618-5400 collectif4decembre@gmail.com
i NB Nous ne contestons pas que la République dominicaine ait le droit, sous réserve de procédures adéquates, d’expulser les étrangers qui résident dans le pays en violation de la loi dominicaine sur l’immigration. Nous reconnaissons que la République dominicaine n’est pas tenue de légitimer l’entrée illégale ou la présence de tout étranger à l’intérieur de ses frontières, et nous ne remettons pas non plus en question le droit souverain de la République dominicaine de promulguer des lois et des décrets concernant l’entrée des étrangers et les conditions de leur séjour, pour autant que ces lois ne soient pas discriminatoires.
Tweet Kenya défend les dépenses de 2,1 Milliards de Ksh pour la Mission en Haïti alors que l’ONU fait face à des défis financiers. Concernant le déploiement du contingent de 600 policiers kenyans supplémentaires, annoncé par l’ex-Premier ministre Garry Conille pour novembre, aucune information publique récente ne confirme leur arrivée […]
For every Show page the timetable is auomatically generated from the schedule, and you can set automatic carousels of Podcasts, Articles and Charts by simply choosing a category. Curabitur id lacus felis. Sed justo mauris, auctor eget tellus nec, pellentesque varius mauris. Sed eu congue nulla, et tincidunt justo. Aliquam semper faucibus odio id varius. Suspendisse varius laoreet sodales.
Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
Cookies strictement nécessaires
Cette option doit être activée à tout moment afin que nous puissions enregistrer vos préférences pour les réglages de cookie.
Si vous désactivez ce cookie, nous ne pourrons pas enregistrer vos préférences. Cela signifie que chaque fois que vous visitez ce site, vous devrez activer ou désactiver à nouveau les cookies.