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Anniversaire du CPT : un an d’insouciance, de corruption et de mégalomanie !

today2025-04-04

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« Ils mettent leurs complets neufs, leurs souliers qui les serrent, leurs sacoches sous leurs aisselles, parcourant la Capitale en sirène tonitruante…  Ils sont prêts déjà depuis pas mal de temps à se déplacer de leurs fauteuils bourrés pour se rendre aux ministères, aux banques et aux directions générales autonomes en quête de pots de vin. Ce jour est important ; car, c’est l’anniversaire du jour où le bonheur du poker politique leur avait souri pour les consacrer présidents ». 

Bon Anniversaire !

Ce 3 avril 2025 marque l’anniversaire de cette bête à sept têtes et deux cornes installée dans une innovation politique ridicule à la plus haute magistrature du pays pour soi-disant sortir Haïti du labyrinthe. Le CPT émanait de la volonté occidentale sous-traitée à la CARICOM pour combler le vide politique abyssal engendré par l’éviction impromptue du PM de facto Ariel Henry. La stratégie du caméléon. Le neurochirurgien a été pris dans le piège prévisible d’une décapitation politique manœuvrée par son propre maître en colère contre son faible quotient intellectuel dans le jeu hypocrite du « politiquement correct ». 

La prise d’otage « Ariélien » a été conspirée par les flibustiers rancuniers de la diplomatie internationale perfide qui larguaient dans la jungle les animaux détraqués pour créer une panique sans précédent. Dans leur rage, ces démons téléguidés, manipulés, fédérés par le BINUH, avaient incendié écoles, hôpitaux, pharmacies, etc. Cerise sur le gâteau, ils avaient offert à leurs concepteurs l’apothéose de dégainer leurs mitrailleuses sur des aéronefs en phase d’atterrissage au tarmac de l’Aéroport Toussaint Louverture. 

D’une monocéphalie décapitée qui faisait la grosse tête dans un narcissisme condescendant à une acéphalie totale, les faiseurs de rois aux nez pointus croyaient qu’une transition vers une décacéphalie mosaïque serait la panacée au déficit de gouvernance d’Haïti. Ainsi, face au G-9 criminel, il leur paraissait essentiel de fournir une réponse proportionnelle en concevant un G-9 présidentiel multicolore, rassemblant toutes les énergies antagoniques dans un prétexte d’objectif commun de déraciner les souches de l’insécurité. Pourtant, à des exceptions près, il n’y a que la cravate et la veste qui distinguent ces deux groupes fédérés que les esprits naïfs croyaient diamétralement opposés. 

À la vérité, les cols bleus du « Viv-Ansanm » éclos dans les ghettos et les cols blancs « Vivant Ensemble » à la Villa de l’élite se révèlent deux gangs semblables qui s’octroient le même objectif malsain de plaire au Blanc en contrepartie de leur désir voluptueux de s’enrichir déloyalement, sans mesure, sans retenue. Quitte à persécuter, martyriser, tuer ou déguerpir la population de sa résidence construite en des sacrifices énormes. Si de visu, les adeptes du premier groupe kidnappent, incendient et assassinent avec leurs kalachnikovs, les adhérents au deuxième exterminent des vies innocentes à travers des écritures comptables qui transfèrent sur leurs comptes personnels l’argent public qui aurait pu juguler l’insécurité, construire centres de santé, cliniques, écoles, parcs sportifs, etc. L’extorsion des ressources publiques au profit des clans s’opère toujours au détriment des jeunes et des enfants. Ce n’est pas sans raison que la corruption est classée dans la catégorie des crimes contre l’humanité.

En théorie, le Conseil Présidentiel de Transition (CPT), issu d’un large consensus entre militants politiques novices et combattants politiques expirés, devait œuvrer à restaurer l’autorité de l’État en rétablissant un climat de sécurité propice, en récupérant les territoires perdus et en organisant en bonne et due forme des élections pour renouveler les leaders aux différents échelons de la pyramide politique. Cependant, dans la pratique, Corruption, Pillage et Trahison sied parfaitement à ce sigle CPT qui fait plonger les esprits dans une réminiscence d’improductivité, d’impunité et d’obstruction à la justice. 

Un bilan catastrophique

Au cours du règne du CPT, les conditions de vie de la population se sont empirées sur tous les plans. Les principales artères économiques sont bloquées ; le transport terrien et aérien est paralysé ; le tourisme converge vers un zéro absolu. L’économie est en lambeau. Plusieurs espaces au cœur de la Capitale, ainsi qu’aux versants Nord, Sud et du Centre du pays ont donné de la substance au néologisme de « territoires perdus » évoqués par l’ancienne ministre de la Justice, Emelie Prophète. Dans un faisceau divergent, les habitants se déplacent comme des fous, fuyant les balles perdues en transportant leurs cadavres sur des brouettes, leurs matelas sous leurs aisselles et leurs réfrigérateurs sur la tête pour se réfugier à une place publique ou à une station d’essence. Les plus courageux, munis de leurs machettes, croisent l’épée face aux mitraillettes du camp terroriste parrainé par les idiots utiles du terroir et les méchants rancuniers de la communauté internationale hypocrite. Haïti ne cesse de tutoyer une guerre civile dans une fine proximité.

Comme pour souhaiter un joyeux anniversaire anticipé au CPT, les sanguinaires de Viv-Ansanm ont orchestré le 30 mars dernier un « Prison Break » à Mirebalais, libérant dans leur mercenariat 500 prisonniers, blessant et tuant des innocents se trouvant sur leur passage monstrueux. Gressier peine à montrer ses pouls, Léogane vit dans l’insomnie, effrayant une invasion des criminels qui ont déjà tenu captifs les habitants de Fontamara, Carrefour, Mariani… De nombreux commissariats de police additionnels ont été vandalisés, plusieurs blindés incendiés, une longue liste d’entreprises, d’hôpitaux, de pharmacies et d’infrastructures scolaires ont été sabotés. 

Les décès par balles ont augmenté, le nombre de déplacés devient incalculable. Plus besoin d’un avenir lointain pour se rendre à l’évidence d’un complot cynique contre la Première République Noire indépendante de la planète. Le Centre-Ville est désertique, Solino est étouffé, Delmas se rétrécit, Kenscoff ne respire plus ; les gangs détraqués se vantent d’accomplir leur mission diabolique comme le Blanc le recommande. Tic-tac, l’horloge avance dans un suspens d’un potentiel dernier combat sanglant entre les criminels et un Canapé-Vert résilient qui jure de vivre libre ou mourir. 

Parallèlement, le CPT n’a rien foutu de concret pour arrêter l’hémorragie. Aucune tactique du gouvernement pour défendre la population, sinon il lui est réservé un Accueil chaleureux au Villa injectant du gaz lacrymogène dans ses yeux et des projectiles venimeux dans ses fesses quand elle se mobilise contre l’insécurité. La stratégie d’une certaine « Task-Force » opaque mise en œuvre par l’administration pilotée par Fritz Jean et Didier Fils-Aimé ressemble davantage à un baiser intime entre officiels et criminels. Il est surprenant que malgré le fait que plusieurs de ces drones kamikazes munis de données géoréférencées auraient explosé dans leurs quartiers, même pas un seul chef-bandit n’a avalé son extrait de naissance. Encore du saupoudrage. Car, s’il y avait une volonté manifeste d’engloutir ces salauds qui sèment le deuil au sein de la population, ce serait seulement après leur disparition que la presse allait être au courant de la détonation de ces drones kamikazes dans les bases criminelles au Carrefour-Feuille, au Bel-Air, au Village du diable, non loin de la gigantesque Ambassade, etc. 

Par exemple, combien de fois entendait-on le FBI ou la CIA faire du vedettariat quand ils devaient poursuivre la noble mission de s’attaquer à la mafia, d’éliminer des terroristes ? Ce serait démence de la raison ou sottise de l’intelligence. Car d’une part, au risque de créer panique et confusion, il y a des informations sensibles auxquelles la population ne doit jamais avoir accès. D’autre part, une entité secrète qui révèle sa stratégie se rendrait vulnérable en permettant à l’ennemi de lire ses cartes à jouer. Auquel cas, elle encourt à sa propre perte. 

Dans ce décor périlleux, sauf des imbéciles ou des incompétents choisiraient de jouer ce jeu de « qui perd gagne ». Il paraît quand même qu’il y avait une certaine mésentente entre le patron et les croupions. Des plénipotentiaires du Core-Group auraient crié que l’usage des drones kamikazes était disproportionné aux dépens de leurs poulains à qui ils auraient donné la feuille de route de blanchir la Capitale. La puissante Ambassade n’aurait pas été au courant d’une mission de mercenaires ? Bizarre. 

Le CPT, un vécu mégalomane et blancomane 

Tête baissée, dans une courbe de 90 degrés guidée par une blancomanie aveugle, les conseillers présidentiels avaient tranché quasiment à l’unanimité en faveur de la candidature de Garry Conille, trahissant ainsi les aspirants PM issus de leurs propres familles politiques. D’aucuns parlaient d’un deal mafieux en contrepartie de pactoles assurés par un laboratoire au service de cet ancien PM qui n’avait pas véritablement consommé son divorce post-sismique avec le PHTK. Le CPT a pris naissance dans un cafouillage politique sans pareil. C’était mauvais présage. Ce Conseil présidentiel laissait nourrir des doutes par rapport au sérieux et à la conviction des membres qui le composent. À une phase embryonnaire, de nombreuses rumeurs de grands deals souterrains tels que vente de postes mais aussi une multitude de petits vices moins condamnables, ont été révélés dans le fonctionnement du CPT. 

Seulement trois mois après leur intronisation curviligne entre les vestiges du Palais et la Villa d’Accueil, la course à l’enrichissement illicite de certains membres du CPT n’était plus des rumeurs. Trois conseillers présidentiels issus de trois bases politiques pernicieuses ont été épinglés avec preuves à l’appui dans une tentative de braquage de banque. Dans son investigation technique, l’ULCC a décelé que Louis Gérald Gilles, Emmanuel Vertilaire et Smith Augustin avaient exercé des pressions sur le président de la BNC, Raoul Pierre-Louis, l’exigeant de leur verser de l’argent de la Banque en contrepartie de son maintien en poste. 

L’entité de lutte contre la corruption avait donc prononcé un verdict défavorable à ces trois mousquetaires qui devaient répondre aux questions de la Justice en raison de leur abus de pouvoir et tentative de corruption. Usurpant le pouvoir manu-militari dans une mésinterprétation volontaire entre conseiller et président, ce trio se croit au-dessus de la loi, faisant obstruction au suivi judiciaire. En dépit de leur grave forfait, ils continuent de siéger à la présidence et décider de l’avenir de la République, comme s’ils dominaient sur des zombies. Coup de massue aux tympans de la justice et de l’éthique. Les vertus et les valeurs intrinsèques auraient bu la cigüe.

Deux conseillers présidentiels, détenteurs de la mission d’observer avec discernement les actions des sept autres conseillers, ne dénoncent aucune gabegie, aucune dérive. En contrepartie d’une sinécure patente, Régine Abraham et Frinel Joseph s’enrichissent aussi, au frais de la princesse en détresse. Comme les sept autres ayant droit de voter et de signer des documents stratégiques, ils jouissent des avantages et privilèges présidentiels dont résidences et cortèges somptueux. Ils empochent des frais par-ci par-là. Ils participent activement au détournement des fonds colossaux dédiés au service de l’intelligence pendant que les forces de l’ordre – la PNH et la BSAP – fonctionnent avec un budget de misère.

Dans un arrivisme hégémonique, quatre des conseillers présidentiels hallucinaient de voir leurs noms calligraphiés en caractères gras dans les annales de la présidence du pays. Des critiques y perçoivent dans ce mécanisme de petites passes courtes à la coordination du CPT un « Jwèt Manje Tè ». Dommage pour les braqueurs, ce titre « honorifique » leur avait échappé de justesse. C’était la seule sanction que leurs collègues complices leur avaient réservée en contrepartie de leur acte infamant. Jusqu’à présent, dans ce cauchemar de faire pulluler des présidents comme du champignon, Haïti en a déjà atteint trois dans une année. Aucun pays ne pourrait détrôner le mouton noir de l’Hémisphère dans cette course d’allonger la liste de présidents dans l’histoire d’une nation, peu importe leur notoriété. 

Les deux premiers opportunistes ayant occupé ce poste de proxy-présidents avant l’actuel coordonnateur du CPT se sont montrés impotents et des amoureux de l’argent facile en dépit de leurs âges et leur statut socioprofessionnel que l’on croyait irréprochable. Sans conviction, sans scrupule ; Edgard Leblanc a chancelé, trahi son parti et fini par avaler sa colère crapaud vis-à-vis des pirates à qui il faisait injonction de « Tchoula kò yo » de cette présidence qu’ils avaient souillée par leur folle cleptomanie. C’est probablement la plus grande déception de l’OPL.

Tandis qu’il avait promis de nettoyer les écuries d’Augias, le successeur de l’ancien sénateur se faisait plutôt passer pour un beau-parleur, un lâche qui promettait d’ouvrir des routes alors que la société a vécu la fermeture de plus d’ouvertures qui reliaient la Capitale aux provinces.  En quête d’un crédit immérité qui l’a plutôt discrédité, dans son imposture de chef d’État, Lesly Voltaire s’était précipité un jour avant la fin de son mandat semestriel d’inaugurer un faux aéroport international. Ce comportement inflationniste nous rappelle le complexe de la grenouille qui voulait se faire aussi gros que le bœuf. Tôt ou tard, la vérité finit par éclater à nos visages.

L’actuel coordonnateur, quand il était aux abords du pouvoir, tenait un ferme plaidoyer contre la violence et la capture de l’État par des brasseurs économiques en collusion avec des entrepreneurs politiques. Aujourd’hui au pouvoir, Fritz Jean s’assied au quotidien sur une même table avec des ravisseurs, festoyant et trinquant avec eux. Son slogan de « Budget de guerre » se convertirait plutôt en « Guerre de budgets » entre les conseillers présidentiels ravisseurs qui imposent directeurs généraux, consuls et consultants aux organismes publics et à la diplomatie. Aucun combat contre l’impunité ne peut se gagner sans faire le ménage dans l’entourage immédiat de la présidence. Fritz Jean devrait œuvrer à débarrasser le CPT de la présence des trois escrocs. Sinon, il hypothèque son prestige et sa conviction. 

Enfin de compte, quelle est la feuille de route de Laurent Saint-Cyr au sein de ce collège présidentiel ? Lui qui est censé assurer le leadership du CPT en tout dernier lieu, il demeure un véritable anonyme dans la société. À peine si la nation connaît le timbre de voix de ce monsieur. Il vote rarement, il ne dénonce quoi que ce soit, il n’annonce rien, il ne prend position sur rien. Pourtant, les entreprises des élections lui seraient réservées. Le silence n’est pas toujours d’or. Au contraire, le mutisme et la cécité des dirigeants traduisent insouciance ou cynisme. Ce sont donc des attitudes très dangereuses.  

Mission ratée, sans surprise

Après un an, le CPT a piteusement échoué dans sa mission de rétablir la sécurité et d’organiser des scrutins. Ce Conseil est en passe de devenir caduc. Ce qui serait préjudiciable dans un contexte politique fragile où les gangs se renforcent et que les institutions régaliennes s’affaiblissent. On se souvient quand même que c’était tout au début que des observateurs avaient étayé que des élections crédibles n’auraient pas été possibles sous l’égide de ce CPT importé et contrôlé par des chefs de partis politiques affreux qui hallucinent de ravir des ministères et des directions générales. D’un côté, les griffes de l’ingérence ; de l’autre, conflits d’intérêts. 

Il y avait donc évidence que toute opération de référendum ou d’entreprises électorales dans ces conditions obscures engendrerait des crises politiques complexes. Les yeux de lynx percevaient dans une claire obscurité qu’une spirale de crises préélectorale et postélectorale pointait à l’horizon. Sous l’emprise de ces dirigeants qui boudent l’autorité des institutions régaliennes et qui ne respectent pas la justice, la probabilité d’organiser des élections frauduleuses devient de plus en plus certaine. Les récentes interventions du président du CEP, Patrick Saint-Hilaire, ont encore confirmé cette hypothèse de l’impossibilité des scrutins sous le règne de ce CPT.

Aujourd’hui, à moins de dix mois de sa fin de mandat, c’est mission impossible pour le CPT d’organiser des élections pour placer des élus à la tête du pays au 7 février 2026. D’ailleurs, aucun effort consistant n’a été déployé pour mettre en place les prérequis, notamment un climat de paix et de sécurité propice aux campagnes électorales. Le terrain est miné davantage. Malheureusement, Haïti vient encore de gaspiller du temps et de l’argent sans lancer un seul projet porteur soit pour éradiquer l’insécurité avant de procéder à l’organisation des élections. 

Que faire pour éviter le pire ? Comme cadeau d’anniversaire, un signal fort doit être lancé par le CPT lui-même pour tirer sa révérence dans une auto-expulsion de la scène politique. L’ultime service que cette équipe pourrait rendre à Haïti c’est de convoquer la société à un consensus pour remettre la direction du pays à un groupe de citoyens honnêtes et courageux idéalement un trio pour restaurer l’autorité de l’État. Cessons surtout de sous-estimer la faculté et la probité de l’élite haïtienne à assurer sa vocation de prendre en main le destin de la nation, dans l’autodétermination. C’est particulièrement le poison de l’immixtion condescendante de la communauté internationale pernicieuse qui tue notre république. L’antidote salvateur consisterait à écarter le trident de l’Occident dans le choix de nos gouvernants. 

Haïti a encore une élite résiduelle consciente et compétente. Une inspection minutieuse dans la société civile, notamment auprès des universitaires et des écrivains indiquerait plusieurs têtes dotées de qualité intellectuelle et de crédit moral adéquat pour redresser la barque en péril. Périsse ce CPT inutile pour qu’Haïti soit sauvée !

Carly Dollin

carlydollin@gmail.com

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