L’amour, essence de la vie : une réflexion de Me Guirlaine Delorme

Me Guirlaine Delorme, à travers son essai intitulé « L’amour : un bouquet exquis de l’esprit, » explore avec profondeur et sensibilité l’importance de l’amour dans la vie humaine. En s’appuyant sur les pensées de figures telles que Sigmund Freud, Mère Teresa, et Oscar Wilde, l’auteur souligne l’amour comme une force essentielle qui transcende l’égoïsme et éveille l’humanité à des valeurs comme l’empathie, la solidarité et le respect mutuel. Delorme invite ses lecteurs à embrasser l’amour comme une voie vers une transformation personnelle et collective, faisant de cet écrit une réflexion inspirante sur le pouvoir unificateur de l’amour.

Par Me Guirlaine Delorme

L’amour : un bouquet exquis de l’esprit

Il est indéniable que l’air, l’eau et la nourriture sont indispensables à la survie. Cependant, cette combinaison d’éléments ne suffit pas. L’être humain doit également cultiver des qualités essentielles pour concrétiser le vivre-ensemble.

Aujourd’hui, nous explorons un trésor inestimable : l’amour. Lorsqu’un lieu est dépourvu d’amour, cela devient immédiatement perceptible. L’amour, c’est l’humilité et la patience incarnées. Il est le souverain des actions constructives et vise à élever la pensée à des sommets sublimes. Sigmund Freud a déclaré : « Celui qui aime devient humble ; ceux qui aiment ont, pour ainsi dire, mis de côté une partie de leur narcissisme. »

La charité bien ordonnée commence par soi-même. En ce sens, chaque individu doit se considérer avec bienveillance. Pour atteindre la tranquillité intérieure, il est impératif d’aimer son prochain comme soi-même. Mère Teresa affirmait avec conviction : « Insistons sur le développement de l’amour, de la gentillesse, de la compréhension, de la paix. Le reste nous sera offert. »

Il est urgent de faire du bruit autour du verbe ‘aimer’. Les habitants de cette planète ont plus que jamais besoin d’amour. Nous appelons ceux qui occupent des positions stratégiques à contribuer à la promotion de l’amour. Auguste Comte disait avec sagesse : « Toute éducation humaine doit préparer chacun à vivre pour autrui, afin de revivre dans autrui. »

Chers amis, l’amour est une école qui nous enseigne la valeur du travail bien plus que celle du titre. Il nous apprend l’altruisme, la solidarité, l’empathie, le partage, l’humanisme. Nous invitons chacun à s’y inscrire sans tarder. Peter Deunov déclara avec audace : « L’amour se manifeste par le service et le travail. Si tu ne l’aimes pas, tu ne le sens pas. »

Certaines sociétés font face à des défis qu’elles peinent à surmonter. Nous leur recommandons d’essayer ce remède qu’est l’amour. La haine est un très mauvais guide. Elle n’efface pas les zones concernées de la carte internationale, mais elle ternit leur éclat. Oscar Wilde soulignait avec force : « Aimer, c’est se surpasser. »

Le moment est venu pour l’humanité d’enrichir sa personnalité. La vie est trop brève pour ne pas conjuguer l’amour dans son cœur. L’heure n’est plus à l’égoïsme. Il est temps de cesser de rabaisser autrui, d’accepter la réussite des autres, de comprendre les saisons de chaque individu. Accepter les différences nous épargnera un concert de maux sous le soleil. Mère Teresa a pris soin de préciser : « Il y a des maladies qui ne se guérissent pas avec de l’argent, mais avec de l’amour. »

En ces instants de réflexion profonde, il serait opportun de nous former au diplôme de l’amour. Décidons d’abandonner la division, la calomnie, la jalousie, qui nous entraînent dans une bassesse dont on ne dit jamais le nom. Élevons notre esprit vers les rayons de la transformation intérieure. N’oubliez pas que la loi qui régit l’univers est l’amour.

Que ce principe soit gravé en lettres de feu dans les actes de la race humaine.

Bon courage !

Bonne lecture !

Me Guirlaine Delorme

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