Dans ce grand cinéma à ciel ouvert, les personnages défilent et défient l’imaginaire au fil des actes infinis. L’ange s’étiole et la brute se remue dans un rôle aux mille visages pour offrir une sarabande de la mort.
Grennpwomennen lui-même serait incapable de polir les contours des archétypes.
Bien sûr, il aurait été tellement plus mignon si sa Majesté le Marionnettiste utilisait la chanson pour les traiter de cons. Et la grosse ficelle aurait pu, de ce pas, être éludée.
Mais, qui a fui fuira, et qui a volé le café refusera de remettre la rançon. On connait cette chanson. Pas de panique, on sait tous que la destruction sera toujours préférée à la restitution.
Ayayay! Il n’est pas con, le connard!
Il l’a toujours fait savoir brutalement, même s’il arbore un sourire malicieux en coin, en violant ses propres règles. S’y pique qui s’y fie!
De leur côté, ces petits cons apprendront-ils que les sept nains doivent un jour refuser de voter ce que Blanche-Neige décide ?
Être con n’est pas toujours une question d’intelligence, mais souvent de timing.
Ces petits cons, pourront-ils jouer au miroir. Ils n’ont pas de pétrole en vue, ils n’ont plus le café, le coton et le sucre. Mais, ils doivent chercher les génies méconnus, menm kote manje ra.
Car, ce n’est plus le temps des colonies!
Et nous, dans tout ça ?
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